En partenariat avec le FISO et la Société d'émulation
Jeudi 19 octobre 2017 à 20h30
Durée 1h00
Théâtre municipal - Epinal
A voir en famille à partir de 11 ans
Notre société voue un culte à la jeunesse ; or l’espérance de vie augmente, mais simultanément aussi, le risque d’entrer dans la maladie, la dépendance, voire la démence. Que faire de cette contradiction ? Ce n’est pas pour prétendre y donner des réponses mais pour poser en profondeur la question collective de notre rapport à la mort et de ses conséquences que ce travail autour de la vieillesse et de la fin de vie a été conçu.
Emmanuelle Hiron, qui signe ici sa première création au sein de la Compagnie l’Unijambiste, à qui l’on doit l’inoubliable Inuk donné en décembre 2016, a rencontré longuement des « résidents » en maison de retraite (Ehpad) et les a filmés.
Il en résulte un spectacle composé comme un duo. D’une part, le film apporte toute sa force documentaire, associée à l’empathie et à la pudeur ; d’autre part, le monologue d’une femme gériatre engagée instaure une distance, un rapport intime qui suscite chez le spectateur questionnement, introspection et émotion. Dès lors, cette forme théâtrale toute en finesse et sensibilité permet d’aborder sans jugement des sujets encore trop souvent tabous : la place faite par la société aux vieilles personnes, la qualité de leur vie, leur bonheur possible, le respect, la dignité, l’accompagnement médical et surtout humain, en faisant part à cet égard des interrogations du
personnel médical et des familles.
Le ton intimiste et chaleureux de la pièce, qui porte avec grâce des questions délicates, aide le spectateur à se libérer de ses peurs et de ses réticences. Dans une sorte de catharsis, il peut alors mieux considérer la vieillesse. Ce spectacle se trouve tout naturellement en partenariat avec le FISO, Festival International de Sociologie qui se posera, dans son édition d’octobre 2017, la question du corps (éduquer, soigner, augmenter, identifier).
Texte et idée originale Emmanuelle Hiron
avec Emmanuelle Hiron assistée par Nicolas Petisoff
• Collaboration artistique David Gauchard
• Régie lumière Alice Gill-Kahn
Emmanuelle Hiron, qui signe ici sa première création au sein de la Compagnie l’Unijambiste, à qui l’on doit l’inoubliable Inuk donné en décembre 2016, a rencontré longuement des « résidents » en maison de retraite (Ehpad) et les a filmés.
Il en résulte un spectacle composé comme un duo. D’une part, le film apporte toute sa force documentaire, associée à l’empathie et à la pudeur ; d’autre part, le monologue d’une femme gériatre engagée instaure une distance, un rapport intime qui suscite chez le spectateur questionnement, introspection et émotion. Dès lors, cette forme théâtrale toute en finesse et sensibilité permet d’aborder sans jugement des sujets encore trop souvent tabous : la place faite par la société aux vieilles personnes, la qualité de leur vie, leur bonheur possible, le respect, la dignité, l’accompagnement médical et surtout humain, en faisant part à cet égard des interrogations du
personnel médical et des familles.
Le ton intimiste et chaleureux de la pièce, qui porte avec grâce des questions délicates, aide le spectateur à se libérer de ses peurs et de ses réticences. Dans une sorte de catharsis, il peut alors mieux considérer la vieillesse. Ce spectacle se trouve tout naturellement en partenariat avec le FISO, Festival International de Sociologie qui se posera, dans son édition d’octobre 2017, la question du corps (éduquer, soigner, augmenter, identifier).
Texte et idée originale Emmanuelle Hiron
avec Emmanuelle Hiron assistée par Nicolas Petisoff
• Collaboration artistique David Gauchard
• Régie lumière Alice Gill-Kahn
Production L’unijambiste avec le soutien de l’Ehpad Les Champs Bleus de Vezin-Le-Coquet (35), du CIAS à l’Ouest de Rennes, du Théâtre le Grand Logis à Bruz, du Théâtre de Poche – Hédé, scène de territoire pour le théâtre, et de l’Aire Libre à Saint-Jacques-de-la-Lande
